samedi 29 juin 2013

Vallée de la Dordogne

De ses eaux fraîches et rapides, la Dordogne signe un parcours splendide d’une soixantaine de kilomètres au nord du département du Lot.


 
 
 
 
 
Martel, la «cité aux 7 tours» emplie de maisons médiévales bâties par des marchands prospères.






Carennac , village de charme resserré autour de son prieuré clunisien












Au Moyen Âge, La Roque Gageac comptait 1 500 habitants. À l'époque, la Dordogne faisait vivre pêcheurs et gabariers du port. De cette période demeure l'église recouverte de lauzes. Non loin se dresse, flanqué d'une tour ronde, le manoir de la famille Tarde, amie de Galilée. Pendant la guerre de Cent Ans, La Roque Gageac accueillit les évêques de Sarlat. Leur résidence, à l'extrémité du village, a été conservée. Dominant les maisons, les vestiges du château défient encore le temps.
 
 
 
 

 


Domme est une bastide perchée sur une falaise à 250 mètres d'altitude au bord de la Dordogne. Elle n'offre pas le plan rectangulaire caractéristique des bastides, mais affecte la forme d'un trapèze. Les fortifications qui l'enserrent ont été adaptées dans leur tracé aux nécessités du terrain.
 




Elle fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».
 


La Dordogne
 

Saint-Cirq-Lapopie



Saint-Cirq-Lapopie (en occitan Sent Circ de la Pòpia) est une commune française, située dans le département du Lot dans la région Midi-Pyrénées, en Quercy.



 
Perché sur une falaise surplombant un méandre du Lot, Saint-Cirq-Lapopie est un chef d’œuvre de l’époque médiévale.
 
 
 
 
Dominées par l’église fortifiée, les maisons aux toits pentus recouverts de tuiles brunes, découvrent leurs volumes harmonieux au fil des ruelles pittoresques. Un lieu qui charma artistes et écrivains tel André Breton qui fit du village sa résidence d’été.
 
 
 
 
 
Construit en 1845 par les hommes, le chemin de halage était utilisé par les chevaux afin de permettre aux gabares ou bateaux à fond plat, de remonter les courants chargés de marchandises locales en direction de Bordeaux.
 
 
 
 
Les produits chargés étaient plutôt des vins de Cahors, des prunes séchées mais également les productions des tourneurs sur bois et plus précisément des robinets de tonneaux à vin.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

vendredi 28 juin 2013

Figeac


Une ville agréablement surprenante : des palais à la pelle ! Du Moyen-âge ou de la Renaissance, ils composent un beau livre de pierres à feuilleter au fil des ruelles.
Coup de cœur pour la place Champollion, entourée de vieilles demeures.


 
 
 
 
 
 



Champollion est l’enfant du pays. Sa maison est devenue musée des Ecritures : il raconte cinq mille ans d’histoire de l’humanité, des tablettes de Sumer à l’ordinateur. Un fabuleux voyage, à découvrir seul ou en visite guidée, autour de thèmes variés : le pouvoir et l’écriture, quand les hommes écrivent aux dieux….

Une reproduction géante de la pierre de rosette.
La pierre de Rosette est un fragment de stèle gravée de l'Égypte antique portant trois versions d'un même texte qui a permis le déchiffrement moderne des hiéroglyphes. L'inscription qu'elle comporte est un décret promulgué à Memphis en 196 avant notre ère au nom du pharaon Ptolémée V. Le décret est écrit en deux langues (égyptien ancien et grec ancien) et trois écritures : égyptien en hiéroglyphes, égyptien en écriture démotique et alphabet grec.

La première traduction du texte en grec est réalisée dès 1803. Il faut cependant attendre près de vingt ans avant que le déchiffrage des hiéroglyphes ne soit annoncé par Jean-François Champollion, à Paris, en 1822, et plus encore avant que les érudits ne soient capables de lire les inscriptions égyptiennes antiques avec assurance.


Pour la visite du musée Champollion c'est ici chez Richard:

http://egyptomusee.over-blog.com/article-22374940.html

 

jeudi 27 juin 2013

Rocamadour






Rocamadour (en occitan Ròc Amador) est une commune française du sud-ouest de la France, située dans le département du Lot et la région Midi-Pyrénées.


Au cœur du Haut-Quercy, comme accrochée à une puissante falaise dominant de 150 mètres la vallée encaissée de l'Alzou, cette petite cité mariale est un lieu de pèlerinage réputé depuis le XIIe siècle, fréquenté depuis le Moyen Âge par de nombreux pèlerins qui viennent y vénérer la Vierge noire et le tombeau de saint Amadour.




Rocamadour, « citadelle de la Foi », est également un site touristique de premier plan, l'un des plus visités de France avec 1,5 million de visiteurs par an, après Le Mont-Saint-Michel, la cité de Carcassonne, la Tour Eiffel et le château de Versailles.




La cité médiévale, aux ruelles tortueuses, est gardée par une série de portes fortifiées. Un escalier monumental, que les pèlerins gravissaient (et gravissent parfois encore) à genoux conduit à l'esplanade des sanctuaires, où se côtoient la basilique Saint-Sauveur, la crypte Saint-Amadour, les chapelles Sainte-Anne, Saint-Blaise, Saint-Jean-Baptiste, Notre-Dame (où se trouve la Vierge noire) et Saint-Michel. L'ensemble est dominé par le palais des Évêques de Tulle.




Un chemin de croix conduit au château et à la croix de Jérusalem, où a été aménagé un belvédère.
Rocamadour et ses nombreuses grottes abritaient déjà des hommes au Paléolithique




En 1166 les reliques de saint Amadour auraient été découvertes : un corps parfaitement conservé se trouvait enfoui au cœur du sanctuaire marial, devant l'entrée de la chapelle miraculeuse.


 Le corps de saint Amadour fut sorti de terre puis exposé aux pèlerins. Le corps fut brûlé durant les Guerres de Religion et il ne subsiste aujourd'hui que des fragments d'os, bientôt réexposés dans la Crypte St Amadour.