dimanche 30 octobre 2016

Sur le site de l'éditeur

Toussaint délicieuse.



L'automne joue les prolongations d'arrière saison.
Le temps est si doux.
La lumière est si belle.




Enfin, quelques heures au jardin à respirer ma saison préférée.


Un beau dimanche pour nettoyer les bacs potagers.


Déjà, les choux remplacent les salades.


 Ces trois plants de tomates cerises ont tellement donné durant des mois! Presque plus de feuilles et encore des tomates.

Celles-ci finiront de mûrir sur l'appui de fenêtre.


samedi 29 octobre 2016

Porte-bonheur?

Pas encore paru et pourtant déjà une critique, si belle!... sur le site Babelio.

Une inconnue passionnée,  qui a lu probablement les épreuves brochées et qui a aimé le roman.






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Comme c'est la toute première, je ne peux m'empêcher de la reproduire ici, en espérant qu'elle me portera chance pour la suite.

« La sonate oubliée » est un roman qui s'écoute autant qu'il se lit. Nous suivons deux violoncellistes prodiges que séparent près de trois siècles : Lionella, 17 ans, d'origine italienne vivant à Seraing, qui s'apprête à passer un concours de musique et Ada, 20 ans, pensionnaire « figlia di coro » de l'Ospedale della Pietà, en 1725. Leurs deux destins se retrouveront étrangement enlacés par ce qui donne au roman son titre lyrique : une sonate oubliée aux inspirations « vivaldiennes »…
C'est avec un mélange de ravissement et de nostalgie que je referme ce roman. Je ne l'ai pas lu, j'ai littéralement absorbé chacune de ses pages. Et quel bonheur que ces deux jours passés en compagnie de ces deux héroïnes… Entre concours de violoncelle et compositions du célèbre « prêtre roux », Antonio Vivaldi, la musicienne et amoureuse du violon que je suis a été emportée par cette histoire. le temps de ma lecture je n'ai plus touché terre. Je volais entre la Belgique, aux côtés de Lionella, et Venise, fascinée par le destin de la jeune Ada. A la fois éblouie et emplie d'inquiétudes. J'ai découvert l'incroyable histoire de la Pietà, célèbre hospice qui recueillait nouveau-nés abandonnés et jeunes orphelines. J'ai appris que les jeunes femmes qui y chantaient et jouaient étaient dissimulées au public derrière des grilles. Et j'ai vraiment eu la sensation de me trouver dans la Venise du XVIIIe siècle.
Ce roman chante, résonne et prie. L'atmosphère y est magicienne, féérique et occulte. À chaque page j'entendais le son de l'archet sur les cordes. J'entendais les voix de ces jeunes femmes s'élever jusqu'au ciel ébloui. J'admirais les silhouettes masquées déambuler dans les ruelles de Venise. Je sentais la peur, l'attente, le travail acharné et l'espoir.
Ce livre est exactement l'histoire que j'avais envie de lire. C'est merveilleux, une telle rencontre littéraire. Il y a tant de délicatesse dans ce roman, tant d'espoirs et de passion. Je suis passée de la tristesse à l'enchantement, du désarroi au soulagement. Dévoiler le texte masqué
C'est un vrai voyage dans le temps autour duquel s'enroulent les arabesques divines des violoncelles flamboyants. C'est captivant, déchirant, lumineux. Si le roman s'était allongé de 200 pages, j'aurais dévoré ces 200 pages supplémentaires avec le même plaisir et la même magie dans les yeux. Mais je l'ai aimé tel qu'il est et je le referme avec le sourire aux lèvres, émue par tant de poésie et de beauté, avec l'envie irrépressible de partir pour Venise sur les traces des orphelines de la Pietà.
Et je vais de ce pas saisir mon violon pour ne pas craqueler le charme.
Un immense merci à NetGalley et aux éditions Préludes qui poursuivent leur fabuleuse collection aux thèmes si bouleversants et aux couvertures poétiques et délicates.

mardi 25 octobre 2016

Long silence.



Merci à tous ceux et celles qui se sont inquiétés de mon silence.

Il y a un mois que je n’ai plus rien publié ici, tout simplement parce que je n’avais plus rien à montrer. Du moins, rien de concret, rien de très visuel.
Plus le temps de peindre ni de sculpter, je suis dans ma phase « écrivain » et ce n’est pas très spectaculaire.

Pourtant beaucoup de choses se sont passées avec la future publication de mon roman.


Mon éditrice m'a demandé un nouveau travail qui m’a bouffé tout mon temps.
Elle a reçu une formidable opportunité pour la promotion du roman, un échange de visibilité avec un magazine très connu. Mieux qu’une courte chronique du livre, on lui a proposé une double page grâce à la publication d’une nouvelle, accompagnée d’un focus sur l’auteur (moi :-) ) et le roman. Le thème était libre et elle a insisté sur l’importance de ce type de visibilité qui assure une vitrine très précieuse pour le livre, dans un magazine qui représente un tirage important en France.

Sauf que...

Je n'avais jamais écrit de nouvelles… du coup, j’ai pas mal ramé et connu les affres de l’angoisse de la page blanche. J’ai quand même fini par avoir le déclic, ouf !

En plus, j’ai aussi eu écho du premier commentaire sur lecture des épreuves brochées d’une autre maison d’édition qui souhaite en imprimer 500 dans sa collection en s’acquittant d’avance des droits d’auteurs.

 Je viens de terminer "La sonate oubliée".... je ne l'ai pas lu, je l'ai dévoré!!! il est absolument EXTRAORDINAIRE!
2 rencontres passionnées... sous une belle sonate d'Ada...et... Venise, ville magique qui nous fait vibrer.

Comme vous le voyez, c’est un coup de cœur!

Cette proposition, si tôt avant la publication de l'ouvrage ( le 4 janvier) semble de très bon présage !
Ça soulage et ça fait plaisir.
J'espère donc que cette première réaction en augurera d’autres, notamment auprès d’éditeurs étrangers !

Pour le moment, je suis dans l'attente.

Je peux juste vous proposer quelques jolies photos d'automne, ma saison préférée dont je ne profite, hélas, pas beaucoup cette année.







Il faudra que vous vous habituiez à des billets moins fréquents car ma nouvelle occupation est bien plus solitaire.